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Un Océan de Mémoire - Page 16

  • A la vie à la mort

    A la vie à la mort
    Sur la route des torts
    Nous marchons entraînés
    Par la valse embrumée
    Des soucis et des envies

    A la vie à la mort
    Liés par cet étrange sort
    Nous nous aimons
    C’est vraiment con
    Mais pas tant pis

    A la vie à la mort
    Eloignés des corps à corps
    Nous nous regardons
    Partir pour de bon
    En évitant les « si »…

    Le 16/10/06

  • Rose

    Et voila une nouvelle découverte musicale...Rose...(non Sean, rien à avec ton nouveau blog), c'est le nom de scène que s'est choisie cette chanteuse de 28 piges, des paroles sur le fil, oscillant entre tristesse et joie simple. Côté musique, un ptit air jazzy, country (avec l'harmonica en fond) ou guitare toute simple...la voix a un petit cassé dans les aigus qui rajoute du grain aux textes bien sentis (oula je commence à faire des critiques style femme actuelle ou télérama...faut que je me surveille) (je n'ai rien contre télérama ou même femme actuelle, je me demande même s'il n'yavait pas un micro article sur elle dans l'undes derniers...oui je vous rassure je vais me désabonner, promis...et à la place je prendrais l'abonnement à blog spirit pour vous envahir de musique et d'images)...Bon tout ça pour dire, je ne sais pas si elle fera une grande carrière mais son premier album promet...à suivre, son site c'est: http://www.rose-lesite.fr/
    Dans le même genre "je découvre" y U-Turn de Aaron..qui m'a fait pensé aux vieux slows des groupes de hard rock...pas mal:)

  • Psapp

    Chat ch'est chûr, ch'est de la musique que j'aime...Découvert au hasard de mes pérégrinations dans un grand magasin de livres, cd, dvd, ce groupe dont je n'avais jamais entendu parlé (et dont je n'ai toujours pas entendu parlé) a réveillé mes pitites oreilles, même mon chat adore....
    Voilà comment le groupe lui-même explique le nom choisi (qui je vous l'accorde peut sembler incompréhensible):'Psapp, c'est le bruit que vous entendez quand vous remplissez un sachet en plastique avec des glaçons, le balancez du plafond par un fil contre une grande boîte en carton jusqu'à ce qu'il se déchire. Vous samplez tout ce foutoir et en faîtes le point de depart d'une chanson…"
    Effectivement, plein de petits bruits mais des "bruits" qui se fondent en mélodies acidulées ou plus langoureuses...selon les chansons. Bon dès que je m'abonne je vous en met un extrait en podcast:)
    En attendant que je m'y décide, voila un lien vers leur site (ils sont aussi sur myspace): http://psapp.net/

  • Weeds, politically incorrect

    Voilà deux soirs que je tombe sur une série, ma foi, qui ose dire tout haut ce que certains font tout bas.
    Le sujet ? Nancy Botwin, jeune et jolie mère de deux garçons, perd son mari du jour au lendemain et doit subvenir aux besoins de sa famille. Elle, qui habite un quartier aisé, va, bientôt aidée par son beau-frère, trouver une solution originale : vendre de l'herbe (d'où le titre de la série, "weeds") à ses voisins dont la vie manque de piquant. Il ne s’agit pas de faire l’apologie de la drogue mais plutôt de provoquer après la vision de séries américaines un peu trop lisses.
    Je me suis amusée à le regarder en vo et en français…c’est fou la censure qui peut exister simplement dans une traduction de série…Les petits et gros travers américains sont passés au crible de l’humour. Très politiquement incorrect (d’où l’heure tardive de diffusion sur canal +) toutes les desesperate housewives du monde paraissent à côté bien fades. Les musiques sont en plus excellentes (le simple générique vaut le détour).

    Malheur…cette série ne passe plus….Quelqu’un en sait-il davantage que moi?medium_weeds.2.jpg

  • La gare du souvenir

    Lisse jargon de paroles éculées,
    Ton cœur s’évade et se transporte
    Dans ces royaumes lointains et oubliés,
    Dans ce paradis de ton enfance apprécié.


    Tu tisses à nouveau le souvenir amène
    D’un monde végétal et sans cohortes humaines,
    Un monde de blanc et de lumière habillé,
    Un monde enfin que tu peux chanter en paix.


    Le train de ta mémoire se réveille
    Et cours le long des gares du sommeil.
    Tu avances, pas contre pas et bras contre bras,
    Serrée dans cette foule qui ne te voit pas.

    Chuintements immémoriaux de cette sagesse
    Qui, même pliant sous les années, ne progresse.
    Crissements d’une peur qui, se mêlant au désir,
    Sauf en d’autres lieux, ne peut aboutir.



    Vendredi 20 mai 2005