Je promène au vent mes doigts de sable,
Dans l’oubli du temps et de l’espace,
Et la nacre sacrée de tes lèvres je trace.
Tes yeux, petits grains de filaos adorables,
Se perdent sous l’exquise chaleur solaire
Et se ravivent au goût sensuel du sel de mer.
Paresse, ivresse de la vague qui s’enroule,
De l’écume blanche galopant sur l’aqueuse
Marine, de cette force bleu vert amoureuse
Qui échoue et lèche de son souffle, saoûle
De la brise, les rochers poreux de tes bras.
L’Océan, languissant, t’appelle de sa voix.
Commentaires
S@lut!
quelque soit le blog c toujours @ussi be@u [desole pour les @ m@is l@ lettre @ppropriee veut p@s s@fficher bref...] . Je te souh@ite une bonne continu@tion sur blogspirit. Jespere qu@nd meme que tes problemes sur msn vont s@rr@nger.
@ bientôt